taxi vsl conventionné Blaymont 47

La différence entre un taxi conventionné et un VSL

Si votre état de santé ne nécessite pas une aide médicale, vous pouvez faire appel à un taxi conventionné ou un VSL. Aussi, si vous n’êtes pas capable de vous déplacer seul à cause de votre état, vous pouvez faire appel à ces types de véhicules, à condition d’avoir eu l’approbation de votre médecin.

Le VSL et le taxi interviennent pour transporter les patients en contrôle régulier, les patients ayant reçu une convocation médicale et les patients en rééducation. Ce qui différencie le VSL et le taxi conventionné, c’est l’extérieur, c’est-à-dire la carrosserie blanche pour le VSL ainsi que l’adhésif de la Croix de vie.

Les tarifs conventionnels applicables pour les transports en VSL

Les tarifs conventionnels applicables pour les transports en VSL

Les frais de transport d’un véhicule sanitaire dépendent du véhicule utilisé. A savoir que pour les VSL, sont applicables les tarifs conventionnels en vigueur.

La tarification comporte en effet les points suivants :

• Un forfait départemental ou une prise en charge. Ils varient selon le lieu du siège de l'entreprise de transports sanitaires ;
• Une valorisation detrajet, c’est-à-dire en fonction du nombre de kilomètres parcourus ;
• Un tarif kilométrique du lieu de départ au lieu d’arrivée. La facturation de la prise en charge commence dès le premier kilomètre parcouru.

Qui peut conduire un VSL ?

En guise de rappel, un VSL est un véhicule qui transporte un patient vers une structure de soin. Le chauffeur peut travailler soit pour un établissement de santé privé ou public, soit pour une entreprise de transport sanitaire.

De surcroît, le chauffeur d’un VSL peut être un ambulancier. Autrement dit, il peut être titulaire d’un diplôme d’état ambulancier. Il peut s’agir également d’un auxiliaire ambulancier.

Pour devenir un chauffeur de VSL, plusieurs organismes offrent des formations sur le métier, à savoir :

• Les CHU
• Les instituts spécialisés
• La Croix-Rouge
• Les écoles du groupe AFTRAL

Les bons de transport CPAM

Dans le cadre d’une prise en charge des frais de CPAM, c’est le médecin qui estime le mode de transport adapté à votre état de santé.

Le médecin vous prescrit soit :

• Une ambulance : lorsque votre état de santé nécessite une aide médicale importante
• Un transport assis professionnalisé : lorsque votre état de santé nécessite une aide ou un accompagnement de vos tiers. Dans ce cas, vous pouvez choisir un taxi conventionné ou un VSL
• Un transport en commun ou véhicule personnel : lorsque votre état de santé ne nécessite pas de surveillance particulière et que vous pouvez vous déplacer seul.

Taxi conventionné rendez-vous médicaux

Afin de vous rendre à vos rendez-vous médicaux en toute sécurité, réservez un taxi conventionné pour les transports de patients auprès de l’une des compagnies de taxis que nous avons sélectionnées pour vous. La caisse d’assurance maladie prendra en charge pour vous les frais liés à ces transports de malades en véhicule sanitaire léger.

Taxi conventionné Vsl et cpam

Seuls les taxis disposant d’un agrément spécifique délivré par la cpam peuvent réaliser du transport de patients. Ces véhicules sanitaires légers permettent le transport de malades assis assuré par des chauffeurs formés aux premiers secours. Les compagnies de taxis que nous vous recommandons ont dans leur flotte de véhicules des Vsl conventionnés pour vous amener à vos rendez-vous médicaux en toute sécurité.

L’ambulance

Dans le cas des urgences sanitaires, c’est l’ambulance qui intervient. Elle peut être soit de type classique, soit une Ambulance de Secours et de Soins d’Urgence ou ASSU. Contrairement au taxi conventionné VSL, elle ne peut et ne doit transporter qu’un seul malade outre l’équipage. Ce qui fait l’exception, c’est le cas d’une mère et de son ou ses nouveau-nés.

Puisque l’ambulance est destinée aux interventions rapides, elle doit inclure au moins deux personnels de qualité. L’un d’eux doit avoir un Certificat de Capacité d’Ambulancier. Outre cela, le véhicule doit disposer des matériels de surveillance dédiés aux premiers soins du malade.